Face à l'exacerbation du fondamentalisme islamique obscurantiste et régressif, au fondamentalisme néo libéral usurpateur et colonialiste et au fondamentalisme d'une gauche sociale et ( ou ) nationaliste centralisatrice et substitutive, le processus révolutionnaire déclenchéen Tunisie ( 2010-2011 ) et propagé dans tout le monde arabe s'estheurté à une entreprise infranchissable de manoeuvres de récupération qui a trouvé,d'abord, aux syndicats et dans les partis ouvriers, puis dans les ONG dites de la société civile, un pilier solide qui a tout fait pour court-circuiter ce processus et le remplacer par un soi-disant « processus démocratique » qui limite les tâchesrévolutionnaires en une restauration des régimes en place.