Catalogue
|
Ahmed, At Tudert est né à Ighil Igoulmimène dans l’Arch Ittourar . Étudiant à l’Institut des Techniques Hôtelières et Touristiques (I.T.H.T.) de Tizi-Ouzou, ,il poursuit son écoute, son analyse, son écriture, fréquente les jeunes chanteurs comme Ahmed Aït-Mahmoud, Hamel Saïl; anime de ses poèmes les spectacles du groupe Yugurten . |
ddukṭuṛa deg tesnilestdeg tussniwin n umeslay (sciences du language) deg tesdawit n Nantes, ikemmel deffir-sd aseggas n 25, sinna yunag ar Fṛansa akken ad ikemmel taɣuri-s. Yexdem dina Master 2Ilul deg useggas n 1991 deg Sidi-Aich (Bgayet). Iɛac di tmurt n Leqbayel (At weɣlis) armi |
aa |
Aomar Aït AIDER est né en 1955 à AGHRIB, Willaya (Préfecture) de TIZI-OUZOU - Algérie. Scolarisé d’abord dans sa Kabylie natale, l’auteur obtint un diplôme d’études supérieures en Physique à l’université d’Alger, avant de se rendre en France pour y préparer un doctorat en Mécanique des fluides. Il est actuellement enseignant chercheur à l’université de Tizi Ouzou. |
Arezki Metref est journaliste et écrivain. Il a écrit pour les principaux titres de la presse nationale algérienne jusqu’en 1993, année de son départ en France où il a publié une dizaine d’ouvrages : romans, poésies, théâtre, essais. |
Avec l'aide des proches de Si Lbachir (amis et parents), nous avons tenté de suivre en quelque sorte les lieux de pérégrinations du poète dès lors qu'il avait une troupe de musiciens et qu'il évoluait dans une aire (plus ou moins limitée) qui lui était déjà acquise. Il avait tissé des amitiés et aimait se produire là où il était reconnu et reçu avec les honneurs qui lui étaient dus. Dans certains endroits, il avait à se mesurer avec les poètes locaux (comme à Ifighha et dans la région d'Azazga, avec Tahar Oukhoufache) et la mémoire collective en a gardé intact le souvenir. Le recueil que publient Tassadit YACINE & tidukla tadelsant n Tmazi?t Lbacir Amella? est cette pierre qui s'ajoute à l'édifice, déjà important, initié par des noms connus de la littérature écrite mais qui ont en commun d'avoir consacré des travaux à la littérature orale : Jean-El Mouhoub Amrouche, Taos Amrouche, Malek Ouary, Nabile Farès, Rabah Belamri (à la limite de la berbérophonie) tous natifs de cette même région. Il est vrai, par ailleurs, que dans le champ de la recherche stricto sensu, cette région demande à être mieux connue qu'elle ne l'est puisqu'elle a joué un rôle historique important depuis au moins l'antiquité jusqu'à l'indépendance de l'Algérie. |
Découvrez Beramtane AMIMEUR, un auteur qui a su raviver son esprit enfantin pour adapter La Vache Orange en tamazight latin. Ayant conscience que l'ère dorée des contes kabyles semble révolue, Beramtane AMIMEUR, qui a obtenu deux fois son baccalauréat et brièvement un master en anthropologie et civilisation amazighe, a fondé en 2020 les Éditions Tumast Amazigh en collaboration avec Julien PESCHEUR. Leur objectif est de permettre à tous de lire, écrire, compter, parler, chanter et surtout rêver en tamazigh |
Boualem MESSOUCI est né en 1951 à Aït Weghlis, dans la vallée de la Soummam ( BGAYET) Il a enseigné les mathématiques, il est aussi parolier de plusieurs chanteurs locaux. |
Villeneuvien de longue date, professeur d’arts plastiques au collège Chateaubriand pendant de nombreuses années, appelé du contingent entre 1958 et 1960, Claude Cornu ne voulait pas porter les armes et ne tuer personne. Avec l'accord du commandant de son unité il enseigne dans un village des Aurès où l'on se souvient encore de lui. |
El Ghazi Lakbir est né en mai 1965, dans un petit village dit Tabouhout, de la région d’Aghbalou-n-tserdane, au Moyen Atlas au Maroc. Il était obligé de quitter sa famille très tôt pour faire ses études. Licencié en géologie à la faculté des sciences de Meknes, il s’intéressait à la culture en général et à la poésie en particulier depuis son jeune âge Il est l’auteur d’INUZAR (recueil de poésie) publié en 2007 par l’IRCAM Il a fait un mémoire sur l’opérationnalisation des jeux traditionnels à l’école. |
Fahim à plusieurs cordes à son arc, en plus d’être poète, il est aussi animateur, fabuliste et reporter, il a obtenu son D.E.U.A en électronique l’année 2004, il a une passion dévorante pour la culture en général et la culture berbère en particulier.Fahim Messaoudène, un jeune poète de l’expression berbère, âgé de 33 ans, natif du village IGUERSAFENE, un grand village situé sur le versant ouest de l’Akfadou. Il est administrativement dépendant de la commune d’Idjeur sis à une cinquantaine de kilomètres du chef-lieu de la Wilaya de Tizi-Ouzou.
|
.Faredj Amrouche naquit en 1983 au village Ihitossène, dans la région des Ait Yedjar située dans le Haut-Sébaou ; un village de forgerons soufis. Après un bref passage de huit ans à l’école où il apprit à lire et à écrire l’arabe et le français, il se consacra au métier de ses ancêtres, les poètes-forgerons ; et, les circonstances aidant, il assimila convenablement sa langue maternelle. Il commença à composer ses premiers vers à l’âge de quinze ans. Il ne s’arrêta depuis à donner libre inspiration à son âme de poète et de participer à différentes manifestations culturelles. |
Résultat d’une année de travail scolaire de 9 élèves de 4ème année du CEM de Toudja en Kabylie ( Algérie ). : Idir Amira, Baɛir Katiya, Medduri Ḥnifa, Mahdi Muniya , Ɛebbasi Fatima, Ɛacuri Suraya, Ḥatmi Siham, Ukacbi Marina Sandra, Rezqi Saɛdi - sous la direction de Fawzi At Yexlef. A partir d'une idée qui paraissait impossible à réaliser, nous avons réussi à construire 9 nouvelles dans l'esprit des contes kabyles. Ainsi pour rédiger son texte, chaque jeune auteur a pu utiliser les acquits reçus lors de l'enseignement de Tamazight. |
Farid Rabia, militant de la cause amazighe est originaire de Tizi Oumalou, dans la commune d’Aïn El Hammam. Il a 55 ans. Professeur de mathématiques dans un collège et lauréat du prix de la meilleure oeuvre pédagogique, décerné par l’Institut pédagogique national (IPN) relevant du ministère de l’Education, en avril 1996, après publication d’un livre de mathématiques intitulé «Dalil ettilmidh», aux éditions El Mourchid, concepteur du premier logiciel des maths sur les constructions géométriques en 2008 aux Ed Baghdadi. Ancien membre de l’association IDLES, ancien responsable de la commission d’enseignement de tamazight de 1990 au 1999.. Auteur de «Tutlayt idles tummast» en 1993, "Lakul uzekka" un documentaire de 52mn sur la question identitaire, publié aux Ed Baghdadi Il a reçu le 2ème prix au carrefour national des inventeurs pour son livre ; Tasanayt tussnawit publié aux Ed..La Pensée. Il est chargé de communication à l’APW d Tizi Ouzou.. |
Hocine BELHOCINE est né le 28 Juin 1949 à BOUKHALFA à 5km de TIZI-OUZOU.Enfant, il effectue ses études primaires dans le système français de l'époque. Après l'indépendance de l'Algérie,il est étudiant et rentre à l'EN d'Instituteur de TIZI , ce qui lui a permis d'effectuer 33 années au service del'enseignement en Algérie . dont 4 en France dans le cadre d'un accord culturel.Idéaliste , il découvre très vite le monde magique des enfants, élabore un projet pédagogique concernantl'enseignement précoce et enchaîne par la publication de 223 titres en langue arabe, francaise et turque.
Marié, père de 2 enfants, Hocine est également marathonien ( 3ème champion d'Algérie en 1989 )-secouriste en 2002 - De ses 4 années passées en France de 1982 à 1986 il s'imprègne de la culture de ce pays et écrit un livre " MES DEUX REVES" rassemblant ses souvenirs et rêves qui ont schématisé son itinéraire.
-Très attaché aux deux cultures qui lui ont permis d'évoluer, il pense que les êtres humains sont condamnés à rêver et à vivre cette vie qui est l'ultime itinéraire et l'éternel parcours, en interprétant leurs roles avec joie , mais jamais sans peine.
-Aimer cette vie c'est la respecter en la protégeant surtout; en plus de la paix et de la solidarité, lon des guerres et misères, sans armes et avec beaucoup de fleurs, pour un avenir radieux, sans aucune goutte de sang, bonheur et prospérité pour tous, loin des malheurs." |
De son vrai nom Mohand-Lyazid CHIBOUT, natif d’Aït-Soula, son village natal à Chemini dans le département de Béjaïa en Kabylie (Algérie), il a poursuivi des études universitaires à Alger dont les mathématiques, le journalisme et la littérature française. Contraint de quitter son pays pour venir s’établir en France dans l’espoir de publier ses textes peints d’un lyrisme sans frein, il s’est installé à Paris, là où il a parfait des études de Master de Lettres Modernes à la Sorbonne Nouvelle tout en persévérant dans son écriture avec : " Amoureux-nés " aux éditions Edilivre et " La Finitude " en préparation. |
Né en 1941, d’origine Jurassienne, il a vécu sa plus tendre enfance dans une petite bourgade de Haute-Saône où ses parents viennent s’installer,entouré de son jeune frère et de sa jeune soeur. Libéré des obligations militaires, il embrasse la Fonction Publique qui le conduit à exercer dans la capitale. Il s’y installe avec sa jeune épouse, de leur union naîtra leur fils Christophe en 1971. En 1989 il retrouve sa Franche-Comté natale à la suite d’une affectation après 24 années de vie parisienne. Depuis, bien installé à la retraite, avide d’aventures en solitaire, foulant les chemins en communion avec la nature, il se charge de son sac à dos, son bâton.de pélerin à la main.
|
Né en 1951 en Kabylie maritime du Sahel, pétrochimiste de formation, il a, toutefois, une propension pour la littérature. Imprégné de la culture berbère, il tend, comme son aîné Mouloud Feraoun, à la faire connaître à travers le monde. , paisible retraité, c’est de ses montagnes kabyles qu’il observe les mutations sociétales de son pays kabyle. Sélectionné pour le Prix littéraire Lucien Karoubi où il termine deuxième. De son vrai nom : Mustapha Rabahi, il est décédé en Kabylie en 2023.. |
Jorus MABIALA est né au Congo Brazzaville en 1976. Il vit et travaille en France depuis 3 ans. Danseur et comédien de formation, Jorus a choisi dès 1997 de se lancer dans le conte.’A la recherche d’un spectacle plus vivant’ que ce qu’il avait l’habitude de voir Ce .conteur congolais à l'humour ravageur, emprunte quelques histoires de la vie quotidienne des sites du Congo-Brazzaville et s'inspire des contes traditionnels, pour nous transporter dans la forêt ou les villages. Ces contes souvent partagés avec talent succès et enthousiasme sur les scènes de plusieurs festivals de contes et de théâtre, entre l'Afrique et l'Europe, sont à présent offerts à tous les lecteurs.
|
Kamel SABI est né en 1973 à Attouche, Willaya ( Préfecture) de Tizi-Ouzou ( Algérie ) Dès son plus jeune âge il s’intéresse à tout ce qui est artistique et culturel et plus particulièrement à la poésie.
Après un double recueil de poésie, le jeune auteur Kamel SABI, revient avec une nouvelle oeuvre originale, qui est à la fois un conte, une poésie et des messages véhiculant des valeurs ancestrales d'un peuple dont sa civilisation et sa culture remontent à plusieurs milliers d'années. Mais aussi, dans cette oeuvre l'auteur nous fait inculquer d'un goût mielleux, grâce au conte rimé, les valeurs vitales qu'un homme doit garder et adopter pour faire face aux embûches et aux traquenards de ce monde, pour enfin en sortir guéri et triomphant à jamais.
Ce conte qui allie morale, poésie, magie et bon sens, est de plus illustré de dessins, qui , en plus d'être d'une qualité remarquable, viennent à merveille compléter et rendre plus intelligible un texte déjà très pertinent.
visiter le site de notre auteur :http://kamalsabi.free.fr/ |
Mebarek OKBI, ilul deg wass n 13 Tubeṛ 1985 deg taddart n Tgemmunt Ukerruc, taɣiwant n At Dwala, Tizi Wezzu. Iḥemmel tira d tmedyezt, yebda yettaru isefra-ines imezwura mi yella 8 iseggasen di leɛmer-is. Γur-s 20~25 iseggasen aya d leqdic deg tiddukla tadelsant "Tagejdit" akked terbaεt "Yal Persona" n Tgemmunt Ukerruc . Deg useggas n 2005 yekcem ɣer tiddukla tadelsant akked terbaεt n umezgun n tesnawit "Ɛimac Ɛmer" n At Dwala, anda i yessefra tikkelt tamezwarut "Azul fell-ak a ccix-iw" sdat yinelmaden d iselmaden n tesnawit. Deg useggas-nni, yeǧǧa tasnawit akken ad yekcem ɣer wammas ussileɣ (INSFP) n Tizi Wezzu, anda i d-yewwi agerdas-is n BTS deg tnezzut tagraɣlant. Deg useggas n 2009, iban-d tikkelt tis snat d amedyaz deg Tilisli n Ṣṣumam n Bgayet. Seg imir-nni, d netta yettaru ama deg tili ama deg usebter-is n Facebook "Taricett n Ddheb".
Mebarek OKBI est né le 13 octobre 1985 au village de Taguemount Oukerrouche, commune de Beni Douala, wilaya de Tizi Ouzou.l Passionné d'écriture et de poésie, il a commencé à écrire ses premier textes vers l'âge de 8 ans ! Fin 90 début 2000, il intégre l'association culturelle "tigejdit" et la troupe théâtrale "" yal persona"" de taguemount oukerrouche .En 2005 il intègre l'association culturelle et la troupe théâtrale du lycée Imache Amar de Beni Douala ou il a lu pour la première fois sur scène un poème" Azul fell-ak a cix-iw" écrit pour les lycéens et et les enseignants..La même année il quitte le lycée pour rejoindre l'institut national de la formation et l'enseignement professionnel (INSFP) de tizi Ouzou ou il a eu son diplôme : BTS en commerce international. En 2009, il fait sa deuxième apparition en tant que poète à la Radio Soumam de Bèjaïa. |
Né le 14 Juillet 1962, à Menzel Bouzaienne, Tunisie , Mohamed Amami s’est lancé très tôt dans la lutte révolutionnaire ascendante dans son pays durant les années 1970-1980 , ce qui lui à coûté 6 mois de prison à l’âge de 17 ans . Renvoyé de son travail, entre 1985 et 1989, alors qu’il était instituteur et très actif au sein de son syndicat affilié à l’UGTT. Membre fondateur et dirigeant de l’Organisation Communiste Révolutionnaire (OCR ) à tendance trotskyste, il à connu toutes formes de répression et de harcèlement policière sous le régime de Ben Ali. Convaincu que sa propre organisation et les organisations de là dite gauche radicale en général sont en délitement irréversible, il s’exila en France en 2006. Licence d' histoire, deux diplômes en informatique, une formation et une expérience en travail social ne lui suffisent pas pour trouver un travail stable. Saisonnier en agriculture, manœuvre en bâtiment, magasinier, puis auto-entrepreneur en maintenance informatique, il à vécu toutes sortes de précarité. Actuellement formateur en informatique auprès d’une association, il reprend de nouveau ses études universitaires, cette fois en Arts et Littératures étrangères. Tout le long de son parcours militant, l’auteur a écrit ou traduit plusieurs articles, un livre en langue arabe sous impression, (….) et un livre traduit du français vers l’arabe (diffusé en petite quantité par la voie militante, puis saisi par le contrôle policier en 2004)(Tableau noir, résister à la privatisation de l’enseignement, de Gérard De Selys et Nico Hirtt ….)En France l’auteur ne cesse d’animer beaucoup de conférences, d’interventions, de débats, de manifestations de solidaires sur là situation dans là région arabe et en Tunisie dans différentes villes.. |
Mohamed ZEGGANE est né en 1955 à Mechrek, un village de montagne, non loin des Ouacifs en Kabylie (Tizi Ouzou).Féru de littérature française et de chanson à texte, il oeuvre depuis toujours pour la promotion de la langue de Molière, d'abord en tant que professeur de 1976 à 1995 puis inspecteur de l'enseignement de 1995 à 2007. Il termine sa carrière en tant qu'Inspecteur de l’Éducation Nationale en 2015,
|
Mhamed Hassani est né à Aokas en Kabylie maritime sur le littoral-est de Bgayet, ( Bougie ) en Algérie. Poète et dramaturge, il a commencé à écrire dans les années soixante dix. Il a écrit et monté sa première pièce de théâtre en 1978 et diffusé son premier recueil de poésie berbère « Ili » en 1981. En 1989 il édite sa plaquette de poésie « ARU ! » et en 2011 il réédité « Ili ! » Alors qu’un de ses textes dramatiques « la maison de Tiche », primé à plusieurs concours d’écriture, a été produit par le théâtre public de sa ville de résidence ( Bgayet- Bejaia ), la même année. |
Akli GUETTAF est un de ces jeunes kabyles du dedans, originaire de Bouzeguenne. Agé de 26 ans, il a choisi de vivre dans sa kabylie sans se morfondre et sans tristesse. Dès le lycée, Mohand est fasciné par les caricatures de Dilem. Passionné, on le rencontre dans tous les espaces culturels kabyles, que ce soit dans la poésie ou dans la musique, dans l'animation des fêtes locales ou à radio Soummam, Mohand Akli vit avec, par, et dans la culture berbère. Son premier livre de contes kabyles qui sera édité chez Sefraber dans la collection Timsefraber, magnifiquement illustré par l'auteur, est à son image, un hymne à la joie de vivre, faisant découvrir à son cousin de la ville, l'inoubliable kabylie du dedans, reflet de l'authenticité et de l'espoir. |
.Mohand Soulali est né à Ibekarène , dans la partie montagneuse de l’Arch Aït-Idjeur. En septembre1972, il entre à l’Université d’Alger, Faculté de Médecine , pour entreprendre de longues études médicales. |
Né en Kabylie (Cheurfa-Tigzirt), Moussa Djafer vit au Québec. Il est membre actif de l’école d’enseignement de tamazight INAS de Montréal, il a participé à de nombreuses manifestations littéraires et culturelles au Canada et a publié ses poèmes dans les revues «The Amazigh Voice» et «Aɣmis n uɣarbaz Inas».Dans son premier recueil de poèmes, Moussa Djafer donne sa vision sur plusieurs sujets qui touchent l’être humain: L’amour, l’immigration, la liberté, la vie… Ceux qui liront ses poèmes trouveront du nouveau, dans la beauté du poème et des idées. Tant qu’il y aura des poètes, la langue kabyle s’épanouira ! |
Najeh Missaoui est né en 1972 à Jemmal-Monastir, Rédacteur en chef adjoint à la télévision tunisienne – Ancien présentateur du journal télévisé de 20h - Maîtrisard en Sciences de l’Information et chercheur en Sciences Politiques. Universitaire et Formateur international en droit de l’enfant. |
Noufel Bouzeboudja est né le 28 octobre 1981 à Tizi Ghenif, région située à environs 55 kilomètres de la ville de Tizi Ouzou, en Kabylie. De père et de mère enseignants.- Pendant ses études universitaires il découvre sa passion pour la lecture et l’écriture. Avec les livres de : Feraoun, Djaout, Mammeri, Dib, Ben Djeloun, Kateb, qui l’ont beaucoup impressionné par leur volonté de se frayer une identité littéraire unique, marquée par tant de déchirements et de frustrations.Il a participé à plusieurs récitals dans son pays et ce en plusieurs langues puisqu’il écrit aussi bien en Français, qu’en Tamazight, en Arabe et en Anglais il était toujours moyen dans ses études. C’est au lycée qu’il développa une passion pour la poésie. |
ilula giɣrm n Tadaout - tasga n Midelt - abada n udrar n i ɣ il aḥbari (Ou3yach), ingr aTlaS anammas d umqRan g Lmrruc, Omar CHOUKRI anurag g timtisnt, d aslmad g tivrmt n xnifra. amɣnas amssuɣ g tɣwsiwin n wagaZ n ugla amaziɣ, isti abrid n tirra bac ad imzɣ aramsu nns.
Né à Tadaout – province de Midelt – au pied du mont Ayachi, entre moyen et haut-atlas – Maroc, Omar CHOUKRI est licencié en sociologie et enseignant à Khenifra. Engagé dans la sauvegarde des patrimoines amazighs-berbères, il a choisi la plume pour défendre sa passion.
|
Oussama Khalfaoui est né en 1985 au Kef, cette ville aux maisons couleur de miel située à l’ouest de la Tunisie sur les contreforts de la Table de Jugurtha. Après des études littéraires, il s’oriente vers le sport. Il réussit la Maîtrise en Education Physique avec le grade d’entraîneur 2éme degré, et poursuit des études d’anglais qu’il réussit en obtenant une Maîtrise en langue anglaise. |
Tadelsant IGAWAWEN anda i d-yelmed yerna yesselmed asunneɣ13 n iseggasen. Yelmed asunneɣ iman-is, yerna ar Hamza Zabot. Yeqdec deg Tidduklaarmi d asmi yesɛa 18 n iseggasen, sinna yunag ar Fṛansa. Yebda taẓuṛi n usunneɣ asmi yesɛaIlul ass n 19 di Yebrir 1997 di Laṛebɛa Nat Yiraten (Tizi-Wezzu). Iɛac di tmurt n Leqbayel |
Rachid Oulebsir, né en 1953 à Tazmalt ( Algérie ), est diplômé des universités Paris-Nord et Paris-1-Panthéon Sorbonne ( 1978 ). Chercheur indépendant en culture populaire, il vit en Kabylie dans la ferme familiale où il mène une vie de paysan accompli partageant son temps avec bonheur entre la culture et l’agriculture. Reporter de la presse écrite, Il a durant vingt ans, pris le pouls de l’Algérie profonde en pleine mutation. Ses reportages, consacrés aux pratiques du terroir en déshérence et aux savoir-faire en déclin, constituent des repères incontournables pour une lecture de l’Algérie d’aujourd’hui. |
Sliman Zamuc: Ilul-d deg Wat-Wertiran, tamnaḍt n Sṭif, aseggas n 1971. Yelmed deg temẓi-s deg uɣerbaz alemmas d tesnawit n taddart-is. Syin akkin yuɣal yekcem ɣer tesdawit Ferḥat Ɛebbas n Sṭif andda id-yewwi agerdas n tsenselkimt.
Zamuc d ameɣnas n tugdut d yizerfan n umdan, yettekka deg waṭas n tdukkliwin tidelsanin iqeddcen ɣef waya
|
Tassadit Yacine-Titouh est née le 14 novembre 1949 au village Ath Sidi-Braham, dans la commune de Boudjellil, en Kabylie (Algérie). Anthropologue, spécialiste du monde berbère. Directeur d'études à l'École des hautes études en sciences sociales (EHESS) et membre du laboratoire d'anthropologie sociale du Collège de France. Elle dirige également la revue d'études berbères Awal (« La parole ») fondée en 1985 à Paris avec l'anthropologue algérien Mouloud Mammeri et le soutien du sociologue Pierre Bourdieu.
|
Younes ADLI est né en 1953 à AÏT KHELILI Willaya ( Préfecture) de TIZI OUZOU - ALgérie. Universitaire , journaliste-écrivain. Il vit et travaille en Algérie où il milite pour la cause amazigh, la démocratie et les droits de l’Homme. Il a publié “ Si Mohand ou Mhand “en 2000 , réédité par Paris Méditerranée - Arezki L’Bachir édité à compte d’auteur en 2001- Si Mohand Crépuscule du Printemps aux éditions Enag-Zyriad en 2003 et La Kabylie à l’épreuve des invasions des Phéniciens à 1900 aux éditions Zyriab en 2004.
|
Youcef Marari est né en Janvier 1970 à Tadmaït , ex Camp du Maréchal. Il vit et travaille en Algérie où il a longtemps milité dans le domaine associatif à caractère culturel et social. |
Youcef Sab est né à Ait Yenni, à la fin de la deuxième guerre mondiale, au moment où la situation de misère commençait quelque peu à s’améliorer dans cette région de Kabylie, marquée par la résistance à la colonisation puis par l’ouverture prolifique à sa culture française en donnant à l’école ses premiers instituteurs indigènes. Après des études chez les pères blancs au collège de son village et son BEPC obtenu, « il a manqué d’être instituteur faute d’avoir dix huit ans » à la candidature. Il descend à Alger, le Lycée Bugeaud, avec le goût de « poursuivre » et de dépasser ses ainés, il rentre à la faculté de médecine d'Alger. où il passe son doctorat de médecine qu'il complètera par un certificat de psychiatrie. Ses origines modestes l'obligent à travailler pour poursuivre ses études , c'est ainsi qu'il découvre la littérature en devenant pigiste pour la presse algérienne dans les années 60. |
Après des études universitaires à l’Institut national des hydrocarbures de Boumerdès, Youcef Zirem exerce comme ingénieur à Sonatrach. Mais son amour de l’écriture le mène vers le journalisme qu’il exerce comme un véritable « nomade de la plume ». Son caractère de rebelle et son aversion pour la routine le mènent à fréquenter le maximum de rédactions des journaux qui enrichiront son expérience. Mais Youcef Zirem finit par lâcher le journalisme pour s’occuper de l’écriture littéraire.
Poète, journaliste, écrivain, Youcef Zirem est l'auteur de plusieurs livres dont "La Vie est un grand mensonge”-1995 aux éditions Saint Germain des Près, "les Enfants du brouillard", "Autrefois la mer nous appartenait" aux éditions El Ikhtilef ou encore "la Guerre des ombres” au GRIP Bruxelles . |
Il a fait des études primaires à l'école Sadiki. Puis des études secondaires au Collège Sadiki et au lycée technique de Tunis. Il a poursuivi ses études supérieures en france, il a découvert le verre soufflé pour la première fois à Murano en 1969 et le cinéma où il a débuté par de la figuration dans les années 70. Les deux métiers n'étant pas compatibles, il a eu le courage de tourner une page de sa vie et changer complètement de cap. Sa soif de savoir et de découvertes le poussa à avoir des expériences aussi différentes que variées, c’est comme cela qu’il visita plusieurs pays expérimentant plusieurs professions, car une fois mise à nue, la nouveauté n’en était plus une, il laissait tomber et passait à autre chose d’inconnu. Du sport au verre soufflé, aux balades en mer, à la plongée sous marine à la chasse, de l’artisanat, à l’agriculture, au cinéma au théâtre à la fin il s’est mis à l’écriture, il écrivit un premier livre « La Renaissance Du Verre Soufflé En Tunisie », un one man show qu’il présenta au festival de la médina, il mit noir sur blanc des sketchs, des blagues des scénarios, il tourna son propre film, participa à plus de cinquante productions, pub, reportages, etc.
|
|
|
|
|
|