INURAR-NOUADER , Village des Aurès - Sur les pas de Germaine Tillion
Tel qu'il se présente, votre travail me passionne,...Il s'agit d'un témoignage en direct, éclairé par des documents et non d'un récit plus ou moins remanié "-
(Michel Lambart, ancien Directeur pédagogique de Hachette en Algérie)
Il n’y a pas de meilleur guide que Nelly Forget, qui a engendrer méfiance et contrainte, peur et hostilité, soupçon et dissimulation.Aucun cliché n’apparaît pris à la dérobée. Tous les sujets sont pris frontalement, regardant sans gêne ceui qui les "mitraille", prenant quelquefois la pose ce qui a été indispensable pour les croquis et dessins qui complètent la collection et offrant le plus souvent un large sourire , celui de la confiance,
Tamedyazt n Aɛmer d tamedyazt n tafat i d-iflalin seg wussan-nni n tillas. Di tallit-nni n ṭṭrad ger tayri d uɣurru. Tallit-nni nerra ass-a ɣer deffir tuyat akken ad tt-nettu, imi nuggad ad nefk udem i tidett. Aɛmer ismekti-yaɣ-d tayri-nni nugi ad nwali, nekkni nettnadi fell-as asmi nɣuc iman-nneɣ asmi nɣuc tameddurt nneɣ. Tayri n tudert, tayri n umdan, tayri n tidet, tayri n temlel, tayri n tezdeg. D tayriwin-a i ɣef nesberber nekkni i ɣef yezwi umedyaz takka.
Baudelaire a écrit un jour, qu'il transformait la boue en or; il en est ainsi de la poésie d'Amar GACEM, dont les rayons lumineux sont les rescapés des nuits noires de l'affrontement entre l'amour et la tromperie. Cette période qui se trouva reléguée dans le brouillard de l'oubli, comme une page que nous ne voulons pas lire, mais oublier. Le poète est celui qui refuse l'oubli, aussi il nous invite à regarder dans les yeux une partie de ce qui fait notre vérité, une vérité unie à l'amour et à la recherche duquel nous ne mimes nulle passion. S'il y a une chose, nous dit Amar GACEM, que nous n'avions pas su construire, c'est bien l'amour, ce viatique vers l'autre, ce pont vers l'harmonie, ce petit pas que nous attendons et qui nous attend partout où l'homme rêve de bâtir une maison que la bêtise abhorrerait.
Prix France et étranger TTC : 12 € Prix Algérie TTC 450 Dinars
Leqdic-a, akken i t-id-neɛrek nekk d yinelmaden n uswir wis 04 ; tazwara tella d tikti kan, syin akin tuɣ abrid seg ucrured ɣer tikli ; nxeddem deg-s almi kan i yuɣal ɣer taggara d armud n tullisin i d-yeffɣen deg udlis-a. D tullisin s teqbaylit meẓẓiyen maca yal yiwet tessawaḍ-d izen iɣef wayen tebɣa ad tini. Nuzen-itent ilmend n wayen nwala deg tneɣrit akked wamek ilaq ad naru tullist.Tullisin-a s teqbaylit i yellan deg udlis, mgaradent gar-asen ama ɣef wayen yerzan isental neɣ gar usugen d tilawt ; ilmend wamek iga uxemmem unelmad d wanda izmer daɣen ad issiwed aswir-ines. Mi ara nwali deg waya, ad d-naf inelmaden mi ara d-lsen tullist, beqqun s waṭas ad rẓen aqerruy-nsen ad sugenen wala ma sneseren-tt-id anda nniḍen neɣ deg tilawt.Akken daɣen ara rreɣ tiɣri i yiselmaden d teslmadin i yekkaten ɣef teqbaylit d yidles amaziɣ, ad rnun cwiṭ deg lǧehd-nsen d lebɣi-nsen akken ad fken imru i unelmad ad yaru i wakken ad issenfali deg tmussni-ines, deg uxemmem-is, deg yiḥulfan-is… dayen ara yeǧǧen anelmad ad yissin iman-is ugar, ad yernu ad yefk azal d wafud i yidles-ines ad t-yissin ugar wayen yessen deg-s yakan. S tira i nezmer ad neqqen gar tsuta n yiḍelli d tin n wass-a akken ad d-yili useḥbiber ɣef tmeslayt-nneɣ.
Ce livre est un remerciement à tous les enseignants et enseignantes qui travaillent sur la culture amazighe. C’est aussi un encouragement afin qu’ils persévèrent et permettent aux peuples berbères de se réapproprier leur écriture et leur lecture.Ces nouvelles sont écrites en Taqbaylit qui est l’écriture tamazight latine des kabyles. Elles abordent des sujets différents, les uns sont purement imaginatifs et d’autres ont été puisés dans l’actualité. Leur rédaction a permis d’évaluer le niveau des élèves et leurs capacités de faire la distinction entre le réel et l’imaginaire.Ce livre est le résultat d’une année de travail scolaire de 9 élèves de 4ème année du CEM de Toudja en Kabylie ( Algérie ). A partir d’une idée qui paraissait impossible à réaliser, nous avons réussi à construire 9 nouvelles dans l’esprit des contes kabyles ; Ainsi, pour rédiger son texte, chaque auteur a pu utiliser les acquits reçus lors de l’enseignement de tamazight.
Prix France et étranger TTC : 11 €
ISBN 978-2-35453-041-9
Disponible en Algérie : Contacter Fawzi 0661864027
Face à l'exacerbation du fondamentalisme islamique obscurantiste et régressif, au fondamentalisme néo libéral usurpateur et colonialiste et au fondamentalisme d'une gauche sociale et ( ou ) nationaliste centralisatrice et substitutive, le processus révolutionnaire déclenchéen Tunisie ( 2010-2011 ) et propagé dans tout le monde arabe s'estheurté à une entreprise infranchissable de manoeuvres de récupération qui a trouvé,d'abord, aux syndicats et dans les partis ouvriers, puis dans les ONG dites de la société civile, un pilier solide qui a tout fait pour court-circuiter ce processus et le remplacer par un soi-disant « processus démocratique » qui limite les tâchesrévolutionnaires en une restauration des régimes en place.
Pour se protéger du froid, Na Aicha poussa la porte entrouverte, puis continua à raconter avec ferveur la suite de l'histoire. - "En effet, personne ne pouvait dire s'il respirait encore ou si tout s'est arrêté pour lui. Dans cet endroit isolé, qui donnait sur le village qu'Antar ne pouvait imaginer.
Perchés comme des vigiles dans ce hameau, les jeunes les plus attentifs qui réagissaient généralement aux moindres bruits, intervinrent rapidement.
Ainsi les villageois n'ont pas hésité à prospecter les lieux pour élucider le mystère de ce soir révélé par une sorte d'effondrement en pleine nature. En effet les Montagnards repéraient facilement les personnes et les empreintes d'animaux sauvages grâce aux traces indiscrètes laissées sur la poudreuse. Dans cette forêt de montagne enneigée, déserte, des trous profonds apparaissaient sur la route comme des tâches d'encre sur une feuille blanche et à quelques mètres, une chéchia et un sac abandonnés..."
L’auteur est un poète-cardiologue. Il ausculte le cœur de la vie pour comprendre les états d’âmes, les soubresauts, les secousses, les pulsions, les pulsations d’une société qui lui tient à cœur, étant issu des entrailles de celle-ci. Son cœur bat au rythme de sa société. Tantôt il s’affole quant il a peur pour elle, tantôt il se calme quand il sent ses concitoyens revigorés par un sentiment d’optimisme, de renouveau, de dignité. Pour l’auteur, la vie est un laboratoire. Chaque pas que nous faisons doit nous projeter vers un avenir plus radieux en tenant compte des enseignements des échecs. Sa devise est : Un pas en arrière, deux pas en avant. De la synthèse de sa vie, l’auteur, a extrait des fables et des nouvelles écrites avec l’art et la manière.
Ddunit d aɣerbaz n umdan, yal asurif di tudert-is d tadyant, yal tadyant d tamsirt, yal tamsirt teɛa azwel. Amdan si zik yerwa amdegger d ddunit, yerwa tilufa, yal taluft teslemd-as amek ara yimmager tudert. Timsirin n ddunit, d adlis anda ara d-naf yal taneqqist deg-s tamsirt, yal tullist deg-s anamek, d imedyaten ara yemlen abrid i yal win ara yeɣren adlis-agi.Amyaru iɣezz s tektiwin-ines yeseqdec tamawalt iwatan di tira-s, yeɛreḍ ad d-yessenfali s yimru-s d uɣanib-ines, ayen akken yefren deg wul n yal d amdan, s tira-s yebɣa ad yefsi tiyersi ikarsen amdan d wuguren yettemlil di tudert-is n yal ass neɣ di tmetti deg-i yettidir. Qqaren : Abrid igezmen d win i iqerben, Ad d-naf amyaru yella wayen d-yesmuḥyet si tutlayin nniḍen ar teqbaylit. Ayen d-yesmuḥyet yefka-as udem n tsekla taqbaylit, yerna-as tugna tettidir tmetti taqbaylit n yiḍelli akk d tinna n wass-a, akken yal win ara tt-yeɣren ad iḥulfu tella deg-s teqbaylit d wansayen-is.
A travers ces nouvelles écrites avec un style pamphlétaire, Aâmar Mezdad nous fait traverser le vécu en bonheur ou en malheur des habitants des villages de la Kabylie.
De son vivant, Saïd souhaitait publier un recueil de ses billets. La mort l’a empêché de concrétiser son souhait.
Il n’a pas été facile de faire un choix sur les quelques mille cinq cents billets et rubriques et autres écrits publiés dans Alger républicain sous la rubrique El Ghoul, dans Le Matin sous la rubrique Mesmar J’Ha, dans Ruptures, dans El Manchar et Baroud, dans Le Soir d’Algérie, des caricatures agrémentaient également certains de ses écrits.
Mais lui mieux que personne peut dire pourquoi il écrivait avec une telle constance. Laissons-le parler.
« Voici livré au public, ce premier recueil de billets. Ils ont paru dans Alger républicain sous la rubrique El Ghoul et dans Le Matin sous la rubrique Mesmar J’Ha.